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Le mois de Mai est déjà bien entamé, entraînant avec lui le beau temps (ou presque), les balades et les insectes. Prenons garde aux maladies estivales et profitons du soleil tant qu'il est encore là. Les vacances approchent et malgré l'odeur des examens que cette période implique, je suis sûre que beaucoup d'entre vous prévoient déjà une programme rempli de détente et de soleil pour les mois prochains. À bon entendeur, je vous souhaite unetrès bonne lecture. En remerciant très sincèrement Miiss-Loé, Cycia, Telle et Mad Girl pour leurs articles, parce que sans leur aide, je n'aurais jamais pu terminer cette édition. Je tiens également à remercier toutes les participantes au premier Portfolio, pour leur enthousiasme qui m'a vraiment motivée pour le faire.
HL
Pour cette cinquième publication du Sabots' Mag, quelques nouveautés sont à l'ordre du jour. D'une part, le Portfolio est enfin lancé, et je vous invite à retourner voter
ici afin que je détermine le prochain thème. D'autre part, notre (très) chère admin Telle rejoint les rangs de la rédaction de la Gazette dans une toute nouvelle rubrique dont elle est la génitrice : Le portrait du mois, ainsi à chaque édition du Sabots' Mag, vous aurez le plaisir de découvrir un membre sous un nouveau jour ou du moins, d'après la vision de l'auteur.
Enfin, le projet d'un nouveau design ayant été mis en route, vous pourrez,
dans ce topic, participer à la récolte de photos sur le thème des tout petits poneys.
HL
L'Akhal-Teke
- Spoiler:
Région d'origine : Turkménistan
Morphologie : Cheval de selle
Taille : 1,50 - 1,60 m, parfois plus grand, jusqu'à 1,70 m.
Robe : bai, alezan, isabelle, gris, noir, cremollo
Le nom d'Akhal-teke vient de la vallée Akhal et de la tribu nomade et guerrière turkmène qui l'élève traditionnellement, les Tekes. Les plus anciennes traces de l'Akhal-Teke remonteraient aux IVe et IIIe siècle avant JC. C’est l’un des chevaux les plus impressionnants qui soient. Il est élevé depuis près de 3?000 ans dans l'oasis d'Achkabad dans le désert du Turkménistan, une région au nord de l'Iran, par la tribu des Tékés. Il a été sélectionné sur ses aptitudes à la course. Bien que les Turkmènes l'aient sûrement un jour croisé avec des chevaux arabes et persans, l'Akhal-teke a été préservé des influences étrangères grâce à l'isolement de sa terre natale. Dans le désert, les journées atrocement chaudes sont suivies de nuits très froides. La race Akhal-Teke est devenue mince et solide, adaptée à ces conditions très rudes.
L'akhal-teke est apte à exceller dans toutes les disciplines équestres, bien que ses disciplines de prédilection soient l'endurance et le concours complet. Par le passé, ils furent utilisés avec succès pour le dressage. Abzent et son cavalier Serge Filatov ont remporté la médaille d'or de dressage aux Jeux Olympiques de Rome en 1960 et sont triple médaillé olympique (1960/64/68), conservant le record olympique à ce jour. Les aptitudes de l'Akhal-Teke sont peu connues du grand public au fait qu'il s'agit d'une race assez rare et que peu pratiquent le sport à haut niveau. Il s'agit d'un cheval qui a du fond, étant donné qu'il est un cheval de course à la base, il a des allures, du caractère et un grand cœur assorti de courage et d'une joie pour le saut d'obstacles. Ils servent aussi aux haras pour améliorer d’autres races de chevaux de course. Leur vigueur extraordinaire les rend parfaitement aptes à l’endurance ; ils sont en effet capables de parcourir de grandes distances sous des températures extrêmes avec de toutes petites rations. L’un des plus grands parcours d’endurance eut lieu en 1935 : des Akhal-Teke ont été utilisés pour un voyage de Ashkabad à Moscou (à travers le désert du Karakoum), parcourant une distance de 4 152 km en 84 jours. En Europe, beaucoup d'éleveurs tentent d'orienter la race pour les courses d'endurance.
L'Akhal-Teke possède un caractère vif et courageux mais il est également très attaché à son cavalier, bien que méfiant, têtu et rebelle. Contrairement à une légende tenace, ils ont besoin de beaucoup de tendresse qu'ils rendent généreusement, allant même jusqu'à se tuer d'épuisement pour leur cavalier. Par contre, il deviennent rapidement rétifs en cas de brutalité injustifiée.
HL, (source : Wikipédia)
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Des chevaux et des HommesL’œuvre d’art du Mois
La Statue Equestre de Marc-Aurèle.Bonjours à toutes
!!! Ce mois-ci, je vais vous présenter une œuvre assez connue, la statue Equestre de Marc-Aurèle
!!! Commençons par une petite fiche d’identité :
Cette statue est faite de bronze et était à l’origine dorée. Elle fut réalisée durant le règle de l’Empereur Marc-Aurèle, c'est-à-dire entre 161 et 180 après JC
. Elle mesure 4m24 de haut !! Je ne connais pas son poid mais imaginons qu’il doit être assez énorme, 4m24 de bronze à mon avis, ça pèse plus qu’un poney shetland x) !!
La statue est conservée au Palais des Conservateurs, sur le Capitole, à Rome
!! Néanmoins, en arrivant sur la fameuse place circulaire du Capitole, vous pourrez voir une copie de celle-ci. En effet, bien après la fabrication de cette statue, dans les années 1530, Michel-Ange (oui, le fameux, le grand Michel-Ange, celui qui a peind la Chapelle Sixtine ^^), est chargé de ré-amménager la place qui se trouve au somment du Capitole car elle ne ressemble plus à rien (faut bien dire ce qui est xD). En effet, le Pape, qui veut alors que Rome retrouve l’éclat qu’elle avait durant l’antiquité, lui demande de transformer la place et lui dit de mettre en son centre la Statue de Marc Aurèle. A cette époque, on pense qu’il s’agit d’une statue équestre de l’Empereur Constantin, le premier empereur Chrétien, qui vécu d’ailleur bien près après Marc-Aurèle
!!! C’est aussi pour cela que la statue a été « acceptée » dans le programme décoratif car, si l’on avait su qu’il s’agissait de Marc Aurèle qui n’a absolument rien de chrétien, le Pape n’aurait surement pas voulu qu’on pose cette statue ici x) !!
Bref, plus tard, la vraie statue a été ramassée à l’intérieur du Palais des Conservateur, un des monuments bordant la place, et une copie de Bronze (mais pas doré cette fois ^^), fut installée à la place de l’original
!!
Voici la copie que vous pouvez admirer aujourd’hui
!
- Spoiler:
Maintenant que les présentations sont faites, intéressons nous à nos deux protagonistes, Marc-Aurèle et son cheval (mais surtout le cheval ^^). Ainsi, commençons par notre Empereur, Marc-Aurèle, l’Empereur philosophe à la longue barbe frisée héhé !!! Son règne s’étend de 161 à 180 après Jésus Christ. Il appartient à la dynastie des Antonins. Son fils, qui prendra sa suite, est Commode (alors y en a qui ont vu Gladiator parmi vous ?? ça vous dit pas quelque chose là ^^ ???). Marc-Aurèle passa une grande partie de son règne à combattre d’un bout à l’autre de l’Empire afin d’assurer la sécurité des frontières et de repousser les barbares. Malheureusement pour lui, il s’en serait bien passé, mais en bon Empereur, il était de son devoir de protéger son Empire.
Il écrit un recueil, "Pensées pour moi-même" où il se présente comme un homme tout pétri de l’austère doctrine des stoïciens (on l’appelle pas l’Empereur Philosophe pour rien ^^), mais aussi bienveillant, clément, et très soucieux du bien public.
Ombre au tableau, dans le règne d’un des meilleurs empereurs romains, c’est qu’il martyrisa des Chrétiens (et là encore, heureusement que le Pape l’a confondue avec Constantin sinon il aurait fait détruire la statue sur le champ :s!!). Mais est-ce vraiment une ombre, quand on connait le contexte politique de l’époque ? (oui enfin, je ne cautionne pas le massacre des Martyrs de Lyon, mais pour analyser cet épisode, il y a de nombreux paramètres à prendre en compte
!). M’enfin, gardez de lui l’image d’un Empereur cultivé, austère et dévoué à son Empire
Ah, mais si je vous présentais la vraie statue maintenant, histoire de parler un peu cheval (oui oui, on y arrive xD !!!). Admirez moi ce chef d’œuvre <3
- Spoiler:
Rah mais quelle beauté, quelle force dans cette œuvre !! Ce cheval est incroyablement massif et musclé. Il fait d’ailleur un peu rondouillar ^^ !!! Mais regardez quand même ce poitrail et ces épaules. Qu’il est imposant, c’est une montagne de muscles, de l’encolure à la croupe !! Trois de ses sabots sont au sol, il prend appuit sur l’antérieur gauche et le postérieur droit. L’antérieur droit est levé, l’animal marche, l’Empereur en Général, avance victorieux, saluant son peuple. Le cheval ramasse son encolure, elle est très forte et très ronde, on en remarque les plis sous les joues.
Et les oreilles, ne sont-elles pas magnifiques ces oreilles ^^ ??? Que se-passe-t-il à droite pour que l’oreille se tourne ? La gauche semble aussi prète à tourner. La clameur de la foule, de part et d’autre, célébrant l’Empereur, le rendrait-il un peu nerveux ? Il ne sait plus où donner de la tête (ou de l’oreille plutôt ^^). Et pourant, regardez son regard (wahou le jeu de mots ^^). De grands yeux, mais plutôt calmes
!! Il est aux ordres, il obéit, il avance fièrement sans se laisser distraire. Ses naseaux et sa bouche sont grands ouverts. La queue est en panache et la crinière vole au vent. On l’imagine alors, piaffant à l’avant d’un cortège, énervé, mais qui sait se contenir, qui obéit, un vrai beau destrier de bataille, un cheval impérial
!!
C’est là qu’il est alors beau de voir l’habilité de ceux qui ont réalisé cette statue. Quel finesse et quel sens du détail. Regardez les jambes du cheval et ses crins. Les tendons, les muscles, les bouclettes (de la crinière mais aussi de la chevelure et de la barbe de l’Empereur), tout est là, tout est représenté (et pas dans l’exès
). Ne trouvez-vous pas qu’il ne lui manque plus que le mouvement à ce cheval
???
C’est un vrai chef d’œuvre de l’art romain
Pour finir, un petit zoom sur le harnachement. L’animal porte un riche filet, plutôt fin, décoré de plaques de bronzes. Du mors qu’il a dans sa bouche, devait peut être partir, à l’origine, des rênes
!! L’empereur est assis sur un épais « tapis » qui lui sert de selle (enfin c’est une selle romaine quoi xD). Le tapis est tenu par une sangle et est orné de franges qui descendent sur les flancs du cheval. On remarque également l’absence d’étriers
!!!
C’est ainsi que je vais finir, laissant l’empereur de côté, même si c’est lui le personnage principal de l’œuvre x) !!! Sa personne ici est pleine de symboles et d’images qui seraient intéressant à détailler (eeet oui, c’est de la propagande avant tout cette sculpture
^^!!), mais je ne pense pas que ça soit ce qui vous intéresse le plus
Bonne lecture du Sabots’ mag et à bientôt =)
Cycia
Félicitations pour leur première place : à Fan-fan et Virginie =) aux deux concours photo
HL
Les gogues
- Spoiler:
Le gogue est un enrênement couramment employé par les cavaliers pour le travail à la longe ou monté. Il peut être fixe et indépendant des actions de mains, ou commandé et réglé alors par le cavalier.
Le gogue est un enrênement mis au point par René Gogue, il se décline en 3 montages :
Le gogue fixe, qui est un système « triangulé » fermé sur lui même, il peut s’utiliser en selle ou à la longe.
Le gogue commandé, qui lui est un système triangulé ouvert puisque les mousquetons sont rattachés à une paire de rênes. Le réglage est « commmandé » par la main du cavalier qui tient donc deux paires de rênes.
Le gogue canter lui, est monté sur une seule paire de rênes. L’enrênement, après être passé par la nuque puis les anneaux du mors, vient se rattacher aux rênes de filet. La position de la tête du cheval est donc determinée par le réglage des courroies.
Les gogues on un effet abaisseur, mais uniquement par action sur la nuque du cheval (contrairement aux rênes allemandes qui ont un effet sur les barres du cheval (partie sans dents de la bouche du cheval), ainsi le cheval peut garder confiance en la main de son cavalier.
Le gogue attire donc la nuque vers le sol, la pression cesse lorsque le cheval cède : il étend son encolure, tend et muscle sa ligne du dessus et améliore l’engagement des posterieurs. De plus par son action coulissante sur le mors, le gogue évite l’appui contraint.
Mais attention, afin que le cheval travaille dans une attitude juste avec cet enrênement, il ne faut pas oublier l’impulsion. Dans le cas contraire le cheval trouve une parade : il étend son encolure, mais les posterieurs ne s’engageants pas sous la masse, la ligne du dessus ne travaille pas.
On entre alors dans une attitude fausse… Mad Girl
PEARL
Chapitre 4 : Le poison de la tristesse.
"Va-y, allez ma belle, galope, tu peux y aller".
Fred venait de me lâcher dans une étendue d'herbe immense. Un hennissement joyeux et je galopai plus vite que l'éclair. Mes sabots foulaient l'herbe, et la terre molle s'écrasait. Le ciel était beau, il était bleu. Le soleil brillait. Les oiseaux chantaient.
Oui, c'était bien ça le parfum de la liberté. Le vent enroulait ma crinière en de longues mèches qu'il façonnait au gré de ses humeurs. Oui, aujourd'hui était le jour où je retrouverai ma liberté. Je hennissais un grand coup, exprimant ainsi ma joie. Tout à mes rêves d'espaces, de galops, je ne vis pas la clôture qui délimitait l'espace appelé "pré".
Furieuse, je me mis à charger cette barrière qui semblait s'opposer à ma liberté. Mais elle ne voulait pas s'écarter. Je la poussai, je tentai de l'écarter, mais rien n'y faisait, elle ne bougeait pas. Le vieux Fred observait ça. Sans rien dire. Sans m'aider. J'étais trahie. Alors, je me cabrai, me rejetant en arrière, et j'étais tellement furieuse que je le fis plusieurs fois de suite.
Je me levai si haut que d'un coup, je sentis mon corps aspiré en arrière. Je sentais que je partais en arrière. L'air parut s'épaissir au point de me porter. Ma chute dura longtemps, longtemps. Lorsque je pris contact avec le sol, tout sembla s'accélérer. Mon corps s'abattit avec violence sur le sol, provoquant un nuage de poussière. La douleur vint après le choc. L'air devint irrespirable, et la lumière rouge. Je fermai les yeux, mais ce que je ressentais tenait en un mot : souffrance. Je souffrais de ne pas galoper à mon aise, je souffrais de ne plus voir les miens, je souffrais de ces clôtures barbares, je souffrais de la trahison de Fred, je souffrais de ma chute. Mais plus que le mal physique, c'était la douleur psychologique la plus insupportable.
Comment guérit-on de ça ? Je ne savais pas. Peut être que la vie avait décidé que pour moi c'était la fin. Oui, c'était sûrement ça, parce que sinon, où était l'intérêt de telles souffrances ?
"Lève toi."
Non, non, non.
Non, non, non.
Mal, mal, mal.
Je ne peux pas.
J'ai trop mal.
Je veux en finir.
"Pearl, debout."
Il était mon ami, il m'aimait, mais il m'avait trahie. Je ne sais pas pourquoi il a fait ça. Ce que je savais, c'est que j'allais mourir maintenant. Mourir de chagrin, de solitude, de désespoir, de tristesse. J'avais une famille, je l'ai perdue. J'avais un ami, je l'ai perdu. J'avais ma liberté, je l'ai perdue. J'avais la vie devant moi, je l'ai perdue.
En fermant les yeux, je vis mon troupeau galoper, heureux dans les plaines du Montana. Le soleil se couchait, et les ombres en contre-jour dansaient sur le sol recouvert d'une herbe verte, qui pointait timidement le bout de son nez. L'étalon s'arrêta. Le nuage de poussière se dissipa, révélant les membres du troupeau, beaux, fiers. La queue en panache, la longue crinière dansant au vent, ils marchaient, confiants. Les poulains se collaient contre leurs mères, quêtant leur affection, qu'elles donnaient sans restriction. Toutefois, une ombre triste et solitaire traînait en fin de troupeau. Sa robe autrefois fière et scintillante ne brillait plus. Elle portait sa tête basse. Comme si elle souffrait. Ma mère. Cette belle grise. Ma mère, malheureuse. Il manquait aussi un être cher au troupeau. Ma meilleure amie. Morte sous les balles des Hommes. Ces êtres sans cœur qui privaient les chevaux de leur liberté. Qui m'avaient privée de liberté. Et il n'y avait plus la silhouette flamboyante de ce mystérieux étalon noir qui était dans le même box que moi.
Tout ça, j'allais l'abandonner. J'allais laisser tomber. J'avais dépensé trop d'énergie dans ce combat pour la vie. certaines choses me manqueraient, comme l'affection des miens, les caresses du vieux Fred, la bonne avoine que j'avais le soir, le goût tendre de l'herbe fraîchement poussée, l'odeur de la terre après la pluie, les couchers de soleil, déclinant toutes nuances du rouge au orangé dans le ciel, traçant des courbes de couleurs, la sensation du galop, le vent dans ma crinière...
Le jour de ma naissance, ma mère m'avait dit que l'essentiel est invisible avec les yeux, et qu'on ne voit bien qu'avec le cœur. Ce jour-là, il faisait beau, et chaud. J'avais fermé les yeux, et mon cœur chantait la vie. Il me disait que j'étais heureuse, que je serais heureuse.
Là, je les fermai, et vis juste un trou noir. Comme si on avait perforé mon cœur. L'absence d'amour avait grignoté la plaie déjà béante. C'était laid, noir, béant, ça suintait le désespoir, c'était infecté. Infecté du poison qu'était la tristesse.
Le vieux Fred me caressait doucement, mais je ne ressentais déjà plus le bien-être que cela me procurait d'ordinaire. Mes yeux se fermèrent sur un dernier soupir. Silencieusement, je fis mes adieux à tous ceux que j'aimais. Ma mère, le vieux Fred, mon troupeau ...
J'ouvris une dernière fois les yeux pour le regarder. Son regard était plein d'amour. Je n'en connaissais pas la raison. L'amour est une chose bien étrange. Que je n'avais plus le temps d'apprendre à déchiffrer. Je savais juste que Fred m'aimait, tout comme ma mère. Je fis un petit bruit de remerciement, et il m'étreignit plus fort.
Sa façon de me dire au revoir.
Miiss-Loé
12 Juillet 2008. Presque deux ans qu’une drôle de personne a débarqué sur le forum.
Et dès sa présentation elle se la pète : « je viens d’avoir mon bac L avec mention bien ».
Elle nous apparaît comme une cavalière totalement gaga de son cheval qu’elle aime « trèèèèèèès fort ».
Puis elle nous présente sa bête..
Une photo ! Elle ne nous mettra qu’une photo..
Elle avait pas vraiment dû comprendre le principe d’un forum, et du partage de photos.
Enfin, passons sur ces détails techniques.
A notre grand bonheur (ou pas), elle participe chaque jour un peu plus.
Et c’est au mois d’Octobre que son emprise sur le forum devient immense.
Elle est promue au poste de Concourette, sa puissance est indéniable.
Toutes les deux semaines, le monde des 4 Sabots tremble dans l’attente des thèmes des différents concours.
Pourtant, jamais elle ne s’emporte. L’avez-vous déjà vu insulter, hurler sur un membre ?
J’ai fouillé tout le forum dans l’espoir d’un faux pas.
Mais non. Rien. C’est tout juste si on a pu lire :
« tu nous traites de stupides mais je ne vois pas où est la stupidité dans le fait de donner son avis ».
A croire que cette jeune fille est parfaite.
En plus, elle ne poste que de superbes photos.
- Spoiler:
Alors, j’ai beau cherché, non, je ne lui trouve pas de défauts.
Vous l’avez certainement compris, Cynthia (oui, oui c’est d’elle dont il s’agit !) nous ait très
précieuse, non seulement pour l’organisation du forum mais aussi pour toute l’amitié qu’elle nous apporte.
La dernière (et seule) fois qu’on s’est croisée a été trop courte.
En attendant, je vais continuer d’être épatée par ton savoir et tes qualités.
Et espérer que te joie de vivre déteigne encore de nombreuses années sur notre forum.
Telle
- Spoiler:
HL
Et voilà, cette cinquième édition du Sabots' Mag touche déjà à sa fin. Bravo et merci à toutes celles qui ont lu et participé à cette publication, merci à Telle, Miiss-Loé, Mad Girl et Cycia pour leur contribution, merci à Tana, cirocky, Telle, Cycia, Miiss-Loé et SansPseudoFiix pour leurs photos sans quoi, le Portfolio n'aurait pas été monté. J'espère que cette Gazette vous a plu et espère vous retrouver dans un mois.
HL